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La Commune de Vic-En-Bigorre.

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Mairie

La ville en chiffres Vic-En-Bigorre Données Nationales
Superficie 31,93 km² 543 965 km²
Densité de population 150 hab / km² 111 hab / km²
Gentilé Vicquois, Vicquoises Français, Françaises
Revenus moyens par ménages (2004) 13 184 € / an 15 027 € / an

tableau de bordTableau de bord
Population
5245 hab
Taux de chômage
8.70 %
Entreprises
59.11 ‰
Efficacité de la police
45.86 %
Propriétaires
61.15 %
Diplômés
13.90 %
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GéodésieGéodésie.
(Géodésie?)

Projection
X
Y
Lambert 93 461137 m 6258503 m
Lambert II étendu 414689 m 1823063 m
Lambert Zone 3 414993 m ***3123195 m
Système Longitude Latitude
NTF -2.537 grades 48.206 grades
ED50 00°03'14'' 43°23'11''

*** Le premier chiffre de la coordonnée Y correspond au numéro de la Zone Lambert. La coordonnée est fournie par les chiffres suivants (Les coordonnées Lambert Zone sont des coordonnées "Carto").


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Plan MICHELIN...

 


HISTOIRE

Au I° siècle avant Jésus Christ l'armée romaine de CÉSAR et de Crassus occupe fortement la vallée de l'ADOUR en BIGORRE. Aussitôt, au beau milieu de cette vallée, sur un antique oppidum celtibère, les Romains installent une puissante unité urbaine fortifiée comme ELUSA ou EAUZE. II s'agit de BIGORRA, ville de pouvoir et de commandement jusqu'en l'AN MIL. A moins de 2 Km de là, vers l'Est, les Romains installent un quartier nouveau, sur les rives de l'ECHEZ, au beau milieu des terres fertiles et faciles à cultiver. Voilà donc le VICUS romain à l'origine de VIC-BIGORRE comme des autres Vie de France.
Durant un millénaire ce « Vicus » reste sous la dépendance de BIGORRA, la ville voisine. Le grand bouleversement est au XII° siècle. Pour des raisons de sécurité le Comte de Bigorre et l'Évêque abandonnent BIGORRA-St LEZER pour s'installer définitivement à Tarbes.
Au même moment, vers 1152, le Comte de Bigorre dote Vic d'une Charte qui en fait un solide CASTELNAU, village fortifié à l'abri de ses murs et d'un canal creusé dérivé de l'ECHEZ. Ce canal est toujours là 800 ans après. En même temps Vic est doté d'un marché hebdomadaire, le samedi, qui fonctionne encore activement.
Vic-Bigorre connaît alors un solide développement économique lié à sa situation et à la qualité de l'environnement rural. Ce développement est stoppé net par la fureur des guerres de religion de la fin du XVI° siècle. Tour à tour les protestants de MONTGOMERRY et MONTAMAT et les catholiques de BLAISE MONLUC s'acharneront sur cette proie tentante. Vers 1580 la ville est ruinée, l'enceinte fortifiée démolie, les habitants tués par la guerre et la peste.
II faudra 150 ans pour que cette situation se rétablisse nettement. De 1740 à 1870 Vic-Bigorre connaît une vraie prospérité fondée sur les céréales, le vin de qualité et le cheval. La ville se reconstruit et de magnifiques hôtels particuliers s'implantent jusqu'au centre ville. II en reste comme le superbe Hôtel de JOURNET ou la maison ROSAPELLY. La Révolution n'arrête pas ce développement. L'illustre Bertrand BARERE de VIEUZAC en profite pour se marier à Vic et faire... « des affaires ». Ce développement continu voit s'installer le chemin de fer inauguré en 1859 par l'impératrice EUGENIE et une grande halle métallique, genre BALTARD, quelques années après.
La maladie du PHYLLOXERA ruine la vigne de Vic-Bigorre et initie une très grave crise qui se termine par la Première Guerre Mondiale. Vic y perd 90 de ses garçons et enregistre 200 blessés graves. En 1930 Vic est au creux de la vague avec 2500 habitants.
Une très efficace reprise s'est manifestée depuis 1950. Vic-Bigorre installe quelques industries du bois et du meuble. L'activité « maïs » pèse davantage. Mais Vic a surtout développé ses activités tertiaires et administratives de l'enseignement avec deux lycées et de la santé avec un hôpital.
Vic
. Guy CASSAGNET


Les maires de vic LES MAIRES DE VIC-EN-BIGORRE PAR CLAUDE LARRONDE...


Petites notes interrogatives sur la ville de Vic en Bigorre.

L'éthymologie de vic vient de "vicus" mot latin qui faisait référence aux diverses activités regroupées autour d'une Villa romaine et qui rassemblaient touts les métiers nécessaires au fonctionnement de ses vastes entitées économiques.

Le vocable "Bigorre" semble issu du basque et voudrait, peut être, dire "pierre noire", quoiqu'il en soit des difficultés onomastiques,Vic en Bigorre est une bourgade constituée au moins depuis l'antiquité gallo-romaine, vraisemblablement bien avant.

Il n'est pas impossible que le château médiéval, dont la "rue du château" garde la mémoire, n'aie pris la suite d'une organisation antérieure. Le coeur de la citée, insérée, dans le canal, par sa structure à angles droits, reprend, traits pour traits, le fameux plan Hypodamien cher à l'urbanisme impérial romain. La "rue du chateau" en serait l'axe Est/Ouest, le "décumanus" antique, tandis que la rue qui recoupe à mi-course (la rue des promenades) serait le "cardo"; l'axe Nord/Sud.

L'église Saint Martin possède un porche à motif floreaux étirés typique des 15 et 16° siècles. La porte voit ses vanteaux ajointés verticalement par une barre métallique envahie de mascarons aux bas de visages "en cuir découpé" qui sont de la période maniériste, c'est à dire du second moment de la renaissance: fin du 16° siècle. L'existence même de cette pièce, la qualité de l'exécution n'exlue pas qu'il y aie eu d'autres objets de cette époque, voire un retable renaissance.

Quoique il en soit , le retable actuel que l'on doit à Boisson, originaire du languedoc et fixé à Vic par des liens matrimauniaux, est d'un langage clair et élégant. Elaboré vers1670, on y trouve tous les éléments du style de l'époque.

Cependant 3 choses au moins sont remarquables dans ce triptyque:

A) les bases des deux colonnes torsadées (solomoniques - qui encadrent le miracle de St-Martin ressuscitant l'enfant) sont ornées de plumes dépassant des tores supérieurs , ce qui est une allusion directe au baldaquin de St Pierre de Rome du Cavalier Bernin édifié en 1627. Référence stylistique et/ou idéologique à la primatie du Siège de Rome? Argumentaire visuel à tendance apologétique?.... N'oublions point que les querelles religieuses sont encore présentes dans de nombreux esprits et que l'emprise croissante du pouvoir monarchique suscite une activité symbolique intense (cf. Versailles)....

B) Dans le panneau central, au registre du bas représentant un épisode de la vie de St Martin (où celui-ci ressuscite un enfant) le personnage de gauche pleure. L'intensité de son émotion est suggérée par un bord de sa robe qui trace un S tourmenté au mileu de son corps. Cette tradition du "drapé émotionnel" est berninienne aussi; que l'on pense au drapé du St Longin du Bernin à St Pierre du Vatican qui peut avoir servi de modèle à Boisson pour l'exécution de se personnage.

C) Par contre, l'absence dans le retable, de nombreux amortissements verticaux (pots à feu ou sculptures manquants sur la corniche) font mémoire de nombreux remaniements hasardeux, rompant la cohésion du programme et l'harmonie du projet originel.

Le tabernacle d'une grande finesse d'exécution est de style rocaille (sans doute vers 1750).

Au pieds de l'autel, sur l'estrade, se trouve un magnifique chapiteau corinthien de pierre provenant de l'antiquité tardive, voire de la période Wisigothique. Il n'est point impossible que pareil objet n'attestât la présence d'édifices de l'antiquité tardive dans le secteur (cf les deux colonnes bas empire flanquant l'arc absidial de l'église de Maubourguet et certaines mosaïques...


En savoir plus POUR EN SAVOIR PLUS : LE SITE DE CLAUDE LARRONDE...

VIC EN BIGORRE ET SON PATRIMOINE.

Hôtel de Journet Cinq bâtiments publics se partagent les faveurs de l’histoire du patrimoine culturel : l’église Saint-Martin cumulant la tradition romane d’un choix populaire gascon pour la vaste nef unique et la préférence locale des bâtisseurs pour les espaces larges et ininterrompus dans la « ligne architecturale » méridionale bâtie gothique du XIV°, un retable de bois doré XVII°, une chaire sculptée, des fonts baptismaux d’un très beau marbre, une grille ouvragée chef d’œuvre de ferronnerie. - L’hôpital Saint-Jacques et l’hôtel de Ville, deuxième moitié du XVII°, le collège des garçons fondé en 1532 et démoli en 1965. - La Halle enfin, bâtie en 1862 par Jean-Jacques Latour sur le modèle des Halles centrales de Paris Victor Baltard. « La Revanche » chef d’œuvre du statuaire vicquois Edmond Desca symbolise le monument aux morts de 1870 et le « Poilu » de Martial Caumont statuaire tarbais illustre le sacrifice des soldats de la Grande Guerre.

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L'église Saint Martin.Eglise Saint-MartinL'Église Saint-Martin est le seul édifice médiéval que conserve la ville. Cumulant la tradition romane d'un choix populaire gascon, pour la vaste nef unique, et la référence locale des bâtisseurs, pour les espaces larges et ininterrompus dans la "ligne architecturale" méridionale bâtie gothique du 14ème siècle remaniée au 19ème, elle recèle des pièces remarquables tels un orgue du 17ème siècle, un retable de bois doré du 17ème, une chaire sculptée, des fonds baptismaux d'un très beau marbre, une grille ouvragée, chef-d'œuvre de ferronnerie.

Retable du maître-autel.

Catégorie : Menuiserie
Edifice de conservation : église paroissiale
Matériaux : noyer : taillé, doré
Description : Trois panneaux au centre : un miracle accompli par Saint Martin, patron de la paroisse, les latéraux la Décollation de Saint Jean-Baptiste et l'Assomption de la Vierge.
Etat : oeuvre restaurée.

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LE BAROQUE A VIC-MONTANER
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Patrimoine classé par les monuments Historiques.
Hôtel de Journet
Catégorie :
Hôtel
adresse : Jacques-Fourdace (avenue)
destinations successives : Hôpital
éléments protégés MH : vestibule ; élévation ; toiture ; décor intérieur
époque de construction : 3e quart 18e siècle
décor : Menuiserie
Propriété de la commune
date protection MH : 1977/11/21 : inscrit MH
Façades et toitures ; hall d' entrée ; salle des malades avec leurs boiseries (cad. BK 129) : inscription par arrêté du 21 novembre 1977
type d'étude : Recensement immeubles MH.

Tableau et son cadre : Vallée de Rochegouët.
Catégorie : Peinture, menuiserie
Edifice de conservation : hôtel de ville (non étudié)
Matériaux : toile (en un seul lé) : peinture à l'huile ; bois (en plusieurs éléments) : taillé, mouluré, doré ; plâtre : décor en relief, décor rapporté, doré
Structure : rectangulaire horizontal
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Statue Immaculée Conception dite Vierge couronnée.
Catégorie : Sculpture
Edifice de conservation : église paroissiale Saint-Martin (non étudiée)
Matériaux : chêne (en plusieurs éléments) : taillé, poli
Structure : revers sculpté
Description : La statue est une ronde-bosse en chêne taillé et poli. La statue grandeur nature est composée de plusieurs éléments de chêne : le socle de plan circulaire, la statue et la couronne qui est un élément rapporté.
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Groupe sculpté : La Charité.
Catégorie : Sculpture
Edifice de conservation : centre hospitalier intercommunal de Tarbes-Vic-en-Bigorre : maison de retraite La Clairière (non étudié)
Adresse : Trouillé (rue)
Matériaux : calcaire (monolithe) : taillé
Structure : revers sculpté
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Statue : Vierge debout couronnée
Catégorie : Sculpture
Edifice de conservation : église
Matériaux : bois : taillé
Description : La Vierge couronnée, les mains croisées sur la poitrine retenant un long voile, écrase un serpent sous son pied droit.
Dimensions : h = 185
Iconographie : figure biblique (Immaculée Conception, en pied, couronne)
Inscription : signature (gravée, sur l'oeuvre)
Précision inscription : Signature (sur le côté latéral gauche du socle) : Gayrard.
Auteur(s) : Gayrard Paul (sculpteur)
Atelier : Française (école)
Siècle : 1ere moitié 19e siècle
Historique : Paul Gayrard (1807-1855) est l'auteur des statues de évangélistes de l'église Sainte-Clothilde à Paris.
Date protection : 1982/08/25 : classé au titre objet
Statut juridique : propriété de la commune
Type d'étude : liste objets classés MH.

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Patrimoine Sur des curiosités historiques vicquoises : Sit de CLAUDE LARRONDE.


Géographie. La grande vallée du Val d'Adour .


    Les Hautes-Pyrénées regroupent sur leur territoire trois zones naturelles bien distinctes : la montagne et ses vallées, les coteaux et les plaines.    La montagne recouvre environ la moitié du territoire du département. Elle forme au sud une barrière d'altitude élevée avec la frontière espagnole. 35 pics y dépassent 3 000 mètres, le point culminant étant le Vignemale (3298m). On y découvre toute une richesse de paysages de haute montagne avec forêts et estives.  
  D'ouest en est, plusieurs vallées transversales entaillent profondément la montagne. 
   A l'ouest se situe le bassin du Gave de Pau ou Lavedan qui forme une large vallée de Lourdes à Argelès-Gazost. Là convergent trois petites vallées, le Val d'Azun, la vallée de Cauterets et la vallée de Barèges menant au cirque de Gavarnie, principale source du Gave de Pau.  
  Au centre, la vallée de Campan dominée par le Pic du Midi, le Col du Tourmalet, le massif du Néouvielle et le massif de l'Arbizon, a un aspect riche, vivant et lumineux.   
A l'est, la vallée de la Neste se déroule jusqu'à Arreau où se rejoignent les vallées d'Aure et du Louron. Ces vallées sont ensoleillées et relativement sèches et disposent des passages les plus faciles pour accéder en Espagne : le tunnel d'Aragnouet-Bielsa et la vallée du Rioumajou au sud de Saint-Lary-Soulan.
    Toutes ces vallées sont reliées entre elles par des cols routiers d'altitude élevée et d'accès difficile : le col du Soulor entre le Lavedan et la vallée d'Ossau, le col du Tourmalet qui relie la vallée de Campan au Lavedan, le col d'Aspin entre les vallées de Campan et de la Neste et enfin le col de Peyresourde qui permet de rejoindre la vallée de Luchon.
    Le piémont (45% du territoire) comprend :

- les coteaux, prolongeant les plateaux de Ger et de Lannemezan, disséqués par un éventail de cours d'eau (Gers, Baïses...) ;
- la large vallée de l'Adour s'inclinant de 550m, à Bagnères-de-Bigorre, à 310m à Tarbes puis à 140m seulement à la sortie du département ;
- les collines du Marquisat, des Baronnies et de la Neste, petits "pays" assez enclavés en contrebas des plateaux et du front pyrénéen.

Ethymologie du mot Adour : Adour, en basque Aturri, en latin Aturrus, est un nom de rivière pré-latin apparenté aux mots basque iturri 'source' et languedocien théron 'fontaine'. On lui doit les noms de rivières Eure (Atura), Aar (Arura), Arroux (Aturauos), Arve (Aturaua), Orne (Otorna), Ourcq (Aturicos) ou de ville espagnoles : Tarazona (< Turiasso; Aragon), Tossa de Mar (< Turissa; Catalogne), Túria (Aragon, Valence)... sans oublier Aire-sur-l'Adour (Atura, du nom au fleuve).

En gascon, adour signifiait 'source', 'cours d'eau' et adourgà (oc adorgar) 'irriguer'. Le mot adur s'est spécialisé en basque dans le sens de 'destin', 'onde magique' (sens présumé d'*'humeur').Au XIVe siècle, le chroniqueur Froissart, mentionnait l'Adour en ces termes « la belle rivière de Lisse qui court tout au milieu de Tarbes » .C'est sur ce magnifique sillon Sud-Nord que Vic-en-Bigorre et son canton se sont installés rive gauche, autour de 220 m d'altitude. 
 

Plaine de l’Adour: culture intensive du maïs. C’est un secteur avec une surface agricole très développée (60% de la surface totale), occupée principalement par le maïs (62% de la SAU), alors que les cultures fourragères atteignent à peine 11% de la SAU. L’élevage, également, est peu développé.
Cette grande vallée a toujours été une voie de passage et de circulation mais aussi une région agricole privilégiée avec ses prairies, ses céréales ou ses vignes. Le peuplement y a constamment été dense, comme l'attestent le présent et l'archéologie.


A l'ouest, Montaner et le Montanerès Situés sur la bordure Est du Plateau de Ger, fantastique dépôt d'alluvions pyrénéennes, Montaner et le Montanerès dominent d'une centaine de mètres le Val d'Adour. Pendant des siècles et même plus, ce plateau a été parcouru par des troupeaux transhumants de bovins ou d'ovins, en même temps qu'il offrait ses forêts aux charbonniers. Le peuplement, plus lâche qu'en Val d'Adour, se regroupe en villages, souvent très anciens, nichés sur les versants pour se mettre à l'abri des vents et des pluies d'Ouest.
Presque tous peuvent apercevoir le haut du donjon de Montaner, dont la forteresse les a protégés pendant des siècles. De nombreux vallons entaillent ce plateau de Ger dans le sens Sud-Ouest/Nord-Est et débouchent dans le Val d'Adour. Ainsi, l'un d'eux relie directement Montaner à Vic-en-Bigorre en vrai cordon ombilical.
  
 
La nature, ainsi construite, a facilité et encouragé une très longue histoire commune entre ces deux derniers espaces, modelant une solidarité humaine vieille de trois millénaires au moins.

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La Halle.

Halle de vic

La halle: Le projet fut confié à Jean-Jacques Latour, fils d’un maître menuisier, né à Tarbes, le 5 août 1812. Auteur de très nombreux projets, on lui doit la construction de l’église d’Ossun, celle de Pujo, la chapelle du Saint Nom de Jésus, à Tarbes, dans le style roman et, en style gothique, l’église de Laloubère et la chapelle des Carmes de Bagnères-de-Bigorre. Le toit s'effondra durant l'hivers 1867 à la suite de chutes de neiges exceptionnelles; après réparations elle prit l'aspect qu'elle a de nos jours.

Le canal.

le canal ...le canal

Le canal entoure le centre historique de la ville.
Des moulins, pour la plus part disparus, se servaient de la force de l'eau pour moudre les grains. Abreuvoirs et lavoirs en profitaient également. Sa longueur est de1,3km.

Place de la mairie.

Mairie

Place de la Mairie. Axe Est/Ouest: La Revanche, haut de la façade de la mairie.
La Revanche est une sculpture d'Edmond Desca. ( Edmond Desca (1855-1918) est un sculpteur de l'école française, né dans les Hautes-Pyrénées à Vic-en-Bigorre. Il fut un élève de François Jouffroy.)-----
Haut de page.

Zoom

Zoom la Revanche et attique de la mairie.

fronton mairie

L'attique de la mairie.

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voir Images d'autrefois sur le site de CLAUDE LARRONDE

>Photos supplémentaires avec Pays en France...


VIC AUJOURD’HUI C’EST:

- Une cité dotée de nombreux équipements sportifs et culturels : courts de tennis, stades, piscines, gymnases ; un centre socio-culturel avec bibliothèque et salles de sports et réunions, salles de cours pour l’Ecole de Musique, salles pour la vie associative. - Un Centre Multi-Média avec cinéma, équipé d’un réseau câblé, continue de proposer aux usagers toutes les possibilités modernes de communication. La commune ne compte pas moins de cinq établissements scolaires dont deux lycées (agricole et classique) offrant des filières spécifiques à recrutement académique ou national. La commune poursuit également une politique active sur l’accueil et l’hébergement des personnes âgées : un centre hospitalier intercommunal, un habitat favorisant la vie et l’intégration dans la cité. Vic enfin, situé sur le grand axe routier Paris-Bordeaux-les Pyrénées porte son effort sur la mise en valeur d’attraits touristiques naturels : promenades dans les bois et côteaux avec balisage de circuits, parcours pêche.Cette ville de quelque 5 000 habitants peut s’enorgueillir d’une vie associative très riche.

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